Article récemment paru sur Influencia
Dans un monde où les repères sont flous et les liens délités, l’activité du shopping révèle des aspirations que la société contemporaine n’a plus les moyens d’assouvir. Alors, se pencher sur le shopper ne signifie pas tant décrire une figure qu’une condition à assumer. Éthiquement, individuellement, collectivement. Lire ici l’article d’Influencia.
Le devenir du shopping est hanté par un paradoxe. Un paradoxe qui fait que la raison d’être du shopping n’a peut-être déjà plus rien à voir avec le shopping lui-même. Sa dynamique secrète est portée par quelque chose qui lui échappe. En deçà, ou peut-être au-delà de lui. En clair, il se passe aujourd’hui dans la consommation quelque chose qui est étranger à la consommation. L’expérience de consommer, pour un individu, est débordée par un ensemble d’autres dynamiques, d’autres aspirations, que la société contemporaine en pleine mutation vient alimenter. Parlons alors du shopper, qui, plus encore que le consommateur, attend du moment consommatoire une expérience plus vaste, et dont on peut tenter de jeter ici quelques traits.
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